Épée du type 1837, modèle de 1931
Publié : 23 févr. 2013, 12:32
Bonjour.
astum, nous nous sommes trop éloignés de l'abandon du tricot rayé pour continuer et j'ouvre un nouveau sujet.Vous cherchez une représentation de l' épée du modèle de janvier 1931.
Elle a été ignorée du commissaire général STIOT, qui, bien qu'aviateur, se voulait spécialiste de l'arme blanche de Marine ; elle ne figure donc pas dans sa participation aux "cahiers ARIES", ni dans son article sur les épées de Marine in "la gazette des armes" n° 155 de juillet 1986, avec des dessins de Michel PÉTARD, et en conséquence, dans "Des sabres et des épées" de ce dernier, ce qui est consternant pour quelqu'un qui vend.
Je ne vois donc cette épée que dans le BO, et ,en photo, dans le SCHÉRER. L'auteur la juge d'ailleurs "très rare", et contrairement à lui, je ne trouve pas qu'il y ait eu tant d'amiraux, créés entre 1931 et la fin de la guerre, sans compter les réemplois de modèles précédents
; quant aux chefs de division, combien ne sont pas passés aux étoiles?
En effet, par un raffinement byzantin, ce modèle garde de celui de 1891, destiné aux généraux de l'Armée, le pommeau au 1/2 foudre, et le plateau aux six drapeaux (de vrais drapeaux, pas les "drapeaux sans pique" décrits ainsi par le rond-de-cuir de service en 1837, qui n'avait qu'à lever les yeux de son dossier pour voir le pavillon flottant sur le ministère, définition religieusement reprise depuis) en changeant sa branche de garde à fleurette centrale par celle de 1837 Marine.
Les fourbisseurs ne négligent pas un marché si réduit puisque la monture est faite de morceaux et qu'il suffit d'assembler ces éléments jusque là destinés à des modèles distincts. La modif de 1940 ne concernent que la place des 4 et 5 étoiles. J'admire le dessin technique de 1931, quand la modif officielle de 1940 se résume à ce que je ne peux quailifier que de crobars.
Ce modèle n'a pas survécu à la guerre. À Londres comme après la Libération, les marins ont d'autres sujets de préoccupation, et les amiraux comm les chefs de division ne portent plus que le sabre, les étoile apparaissant sur le gland de dragonne.
À plus tard
astum, nous nous sommes trop éloignés de l'abandon du tricot rayé pour continuer et j'ouvre un nouveau sujet.Vous cherchez une représentation de l' épée du modèle de janvier 1931.
Elle a été ignorée du commissaire général STIOT, qui, bien qu'aviateur, se voulait spécialiste de l'arme blanche de Marine ; elle ne figure donc pas dans sa participation aux "cahiers ARIES", ni dans son article sur les épées de Marine in "la gazette des armes" n° 155 de juillet 1986, avec des dessins de Michel PÉTARD, et en conséquence, dans "Des sabres et des épées" de ce dernier, ce qui est consternant pour quelqu'un qui vend.
Je ne vois donc cette épée que dans le BO, et ,en photo, dans le SCHÉRER. L'auteur la juge d'ailleurs "très rare", et contrairement à lui, je ne trouve pas qu'il y ait eu tant d'amiraux, créés entre 1931 et la fin de la guerre, sans compter les réemplois de modèles précédents
; quant aux chefs de division, combien ne sont pas passés aux étoiles?
En effet, par un raffinement byzantin, ce modèle garde de celui de 1891, destiné aux généraux de l'Armée, le pommeau au 1/2 foudre, et le plateau aux six drapeaux (de vrais drapeaux, pas les "drapeaux sans pique" décrits ainsi par le rond-de-cuir de service en 1837, qui n'avait qu'à lever les yeux de son dossier pour voir le pavillon flottant sur le ministère, définition religieusement reprise depuis) en changeant sa branche de garde à fleurette centrale par celle de 1837 Marine.
Les fourbisseurs ne négligent pas un marché si réduit puisque la monture est faite de morceaux et qu'il suffit d'assembler ces éléments jusque là destinés à des modèles distincts. La modif de 1940 ne concernent que la place des 4 et 5 étoiles. J'admire le dessin technique de 1931, quand la modif officielle de 1940 se résume à ce que je ne peux quailifier que de crobars.
Ce modèle n'a pas survécu à la guerre. À Londres comme après la Libération, les marins ont d'autres sujets de préoccupation, et les amiraux comm les chefs de division ne portent plus que le sabre, les étoile apparaissant sur le gland de dragonne.
À plus tard