Les bâtiments ayant porté le nom de Girelle
Un garde pêche (1902-1903) entré en service en 1902 et armé commercialement à partir de juillet 1903 jusqu'en 1907. L'histoire ne dit pas s'il fut ré-intégré dans la Marine à l'issue. Un remorqueur à vapeur (1930-1940), construit aux Ateliers et Chantiers de Provence à Port de Bouc en 1930. Déplaçant 34 tonnes pour une puissance motrice de 60CV, il effectue l'essentiel de sa carrière à Toulon à l'exception d'un détachement à Beyrouth de 1939 à 1946. Le 23 février 1960, il est condamné et débaptisé. Il porte alors le numéro de condamnation Q 164. Une vedette de patrouille auxiliaire (1939-1940) réquisitionnée à Alger, pour les besoins militaires de ce port, du 13 septembre 1939 au 4 octobre 1940. Le patrouilleur de surveillance des sites Girelle (1973-1998). Une vedette d'intervention pour plongeurs démineurs de 13 mètres, contruite en 1960 et portant le nom de Girelle est encore en service au sein de la base navale Cherbourg. Pour l'anecdote, le remorqueur portuaire de 380 chevaux Rouget, en service à l'école de manoeuvre, fut initialement baptisé Girelle le 11 juin 1974 ! L'état-major de la marine, se rendant certainement compte qu'une vedette toute neuve portait déjà ce nom, le rebaptisa Rouget par décision du 16 octobre 1974.
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